Pensez à utiliser des ingrédients solubles dans l’huile comme liant, comme les huiles, qui ajoutent un pouvoir hydratant au bain. Conservez vos bombes de bain dans un film plastique ou dans des récipients hermétiques avec quelques paquets de silice « à ne pas manger » éparpillés un peu partout pour qu’elles restent fraîches.
Et pensez à utiliser des ingrédients comme la fécule de maïs ou les sels pour isoler l’eau et éviter une réaction prématurée. Plus dur, c’est plus pétillant ? C’est possible. Les bombes de bain plus dures sont plus denses que les bombes plus souples de taille ou de diamètre équivalent, contenant plus d’ingrédients pour la réaction dans un espace plus restreint.
Elles sont moins susceptibles d’avoir réagi avec l’eau pendant leur stockage. Elles peuvent également contenir des ingrédients en poudre, comme l’acide citrique, qui s’agglutinent plus étroitement que les granulés.
J’ai remarqué une tendance à utiliser la crème de tartre (acide tartrique, pH 3,5 à 5) comme composant acide. Vous utiliserez moins de crème de tartre – théoriquement, vous avez besoin de 2,24 grammes de bicarbonate de soude pour chaque gramme – mais c’est un ingrédient coûteux à plus de 11 $ la livre contre 4 $ ou moins pour l’acide citrique.
Sous forme de poudre, il pourrait permettre de créer des fizzies plus denses et plus durs, ce qui en fait un ingrédient intéressant à explorer pour une partie ou la totalité du composant acide. Avec les bombes de bain, pour certains, le Saint Graal est une grosse boule qui tourne et pétille. Si vous me permettez, j’ai quelques théories sur la raison de ce phénomène.
Peut-être que l’inclusion d’une plus grande quantité d’acide citrique assure une meilleure réaction et une plus grande production de gaz CO2. Il semble que les bombes de bain plus légères qui flottent à la surface tournent plus rapidement que celles qui mettent plus de temps à monter.
Et il se pourrait qu’un bain plus chaud favorise une réaction plus rapide et une production plus importante de gaz CO2 qu’un bain plus froid.